Où Gabrielle Vincent va-t-elle chercher son inspiration ? Dans la vie de tous les jours, au hasard des petits événements qui la jalonnent et, bien sûr, auprès d’enfants dont elle partage volontiers les jeux.
Gabrielle Vincent avait démarré sa carrière d’illustratrice chez l’éditeur Duculot (devenu Casterman) en 1981. A la Foire internationale du livre de jeunesse de Bologne, son premier album « Ernest et Célestine ont perdu Siméon » avait capté l’attention des pros du livre jeunesse.
Lucie Cauwe du Soir écrivait : « Des pages extraordinaires de poésie, de finesse et de tendresse campant des situations proches d’eux, à leur écoute : miroir de leurs sentiments, reflet de leurs émotions, fenêtre ouverte sur le monde, rencontre de l’autre jusque dans ses différences. »
« Ernest et Célestine ont perdu Siméon » est une histoire toute simple qui raconte un fait aussi habituel que la perte d’un doudou par une enfant (Célestine) et la peine qui en découle.
Comme presque toutes les histoires d’Ernest et Célestine, celle-ci est inspirée d’un petit événement de la vie de Gabrielle Vincent. Elle qui s’entourait souvent de ses neveux et nièces qui adoraient venir jouer chez leur tante « Nini » (de son vrai nom Monique Martin).
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