Monique Martin |
11 décembre 2016 Le mois de décembre et les préparatifs de Noël, l’occasion pour la fondation d’évoquer quelques caractéristiques étonnantes liées à l’oeuvre de Monique.
Monique Martin dessine depuis son enfance, dès qu’elle le peut, parfois sur ses cahiers d’école. A quinze ans, elle voit plusieurs de ses dessins publiés en cartes postales et le travail d’illustratrice qu’elle réalise sous diverses identités (de simples prénoms comme Geneviève ou Dominique) va progressivement devenir son gagne-pain.
Des cartes postales de saison (printemps, été, automne et hiver), de fêtes (Pâques, Noël…), des faire-parts de naissance, de mariage…
Il est amusant de constater que ces cartes postales annoncent le travail de Monique Martin, alias Gabrielle Vincent, sur les albums Ernest et Célestine. On y retrouve la patte, le trait de la jeune Monique, mais aussi les thèmes et les décors qui lui servent d’ancrage. Comme en attestent ces quelques images, issues des cartes postales et des albums « Ernest et Célestine ont perdu Siméon », « Noël chez Ernest et Célestine », « Le sapin de Noël » et « Ernest est malade »…
Monique, Geneviève, Gabrielle… Différents noms pour la même âme d’artiste…
Je partage de bons moments, à lire et re-lire les livres (de mes enfants), avec mes petits-enfants.????
NB: Geneviève???? Bizarre!
La douceur et subtilité dans le dialogue , l’échange rempli d’Amour et de respect entre Ernest et Célestine est un baume , peut être même un » doux message » pour nos échanges.. (p.exp.: Ernest et Célestine vont piqniquer…)
Justement toute cette sensibilité de Monique Martin, qu’elle nous transmet autant par ses peintures que par les petites remarques de C ou d’E, sont « étouffés » dans le film..car il est issu d’une autre planète …